Les fléaux naturels ne cessent pas de frapper l’environnement. Les orages agressifs ont ainsi conduit un certain conflit en latente entre les assurances et les clients sur le côté indemnisation. Les dégâts qui se sont abattus sur toutes les régions de France ont conduit à des déclarations de sinistres faites par les clients.
Tel est par exemple les plaintes téléphoniques reçues par Macif qui vont jusqu’à 4000 appels. D’ailleurs, les autres entités telles, GMF, MAAF et MMA pensent recevoir chacun environ 20 000 plaintes. Les dégâts sont réellement néfastes !
Jusqu’à quel niveau sera fait le remboursement ?
Malgré la continuité du mauvais temps, les remboursements sont déjà en cours pour indemniser les clients devant les intempéries.
Pour les demeures, l’assurance est bien remboursée si le souscripteur a adopté les garanties grêle, les garanties incendie et l’assurance multirisque habitation. La réparation des dégâts sera ainsi assurée sauf pour certains cas comme les mobiliers de jardin, les clôtures et les toboggans extérieurs. La déclaration doit être réalisée au bout de 5 jours, puis une demande de devis auprès d’un artisan professionnel est fortement recommandée pour évaluer le montant du remboursement.
Concernant les matériels de transport, le remboursement aura lieu dans le cas où le souscripteur avait opté pour une assurance tous risques. Cela dit, les autres souscripteurs qui ont procédé à une assurance responsabilité ne seront pas remboursés. Une révision du contrat doit donc être faite avant de passer à une demande de remboursement.
Il faut noter que pour les voitures dont leur existence dure depuis plus de 8 ans, sera remboursée, mais à une certaine condition. Si la valeur des dommages dépasse sa valeur de revente alors, l’assurance compte ces options au choix : le versement d’une somme égale à la valeur du véhicule en état de détérioration et de le récupérer, ou, le paiement de la réparation sans dépasser la valeur amortie de ce véhicule.