Cela n’est un secret pour personne, mais le nombre de divorces ne cesse de croitre depuis plusieurs années. Au-delà de la démarche juridique lourde, il s’agit aussi d’une période psychologique complexe au cours de laquelle les 2 futurs ex-époux peuvent perdre pied.
L’aide juridique est indispensable
Même lorsque la cause d’un divorce n’est pas l’adultère (ce qui est très souvent le cas…), cette étape n’est pas une mince affaire. Les 2 parties ne veulent pas céder un iota de terrain et les discussions peuvent s’éterniser. A ce titre, il est inconcevable de ne pas demander un minimum d’aide juridique. Cette aide sera pertinente pour connaitre ses droits, mais aussi le coût du divorce. Une telle procédure est lourde et même la partie « gagnante » n’en sort pas sans séquelle. Cette machine juridique est inévitable si aucun accord mutuel n’est possible.
Pour bénéficier de cette aide, il est possible de souscrire à une assurance protection juridique. Elle peut être obtenue en contactant des experts juridiques. Elle sera alors indispensable pour constituer son dossier en fonction des règles législatives régissant ce type de contrat (de mariage). Dans le meilleur des cas, ladite assurance prendra en charge les frais liés.
Les différents types de divorce
Bien que les 2 époux aient du mal à cerner avec justesse la situation, il est important d’indiquer qu’il existe 4 types de divorce. Chacun répond à une situation précise. Il y a le divorce par consentement mutuel (là où il y a le moins de dégât), le divorce via une rupture unilatérale du contrat de mariage, celui pour faute (adultère) et celui pour altération du lien conjugal.
Une aide juridique vous fournira des informations clés concernant des problématiques majeures telles que la pension alimentaire (combien demander ?), la garde des enfants, la séparation des biens (immobiliers, voiture, etc…) ou encore toutes les prestations dites compensatoires (baisse des revenus liée au divorce).
En somme, un divorce ne s’improvise pas et l’aide d’un professionnel est obligatoire…