Voici une liste de questions vues sur internet, concernant l’arrêt de grosses, les réponses sont apportées par macontraception.fr
Est il possible d’arrêter une grossesse en cours ?
Cette opération est tout à fait possible, mais certaines règles sont à respecter. Grâce à l’IVG, à savoir l’Interruption Volontaire de Grossesse, la grossesse peut être stoppée en France jusqu’à 5 semaines. Elle peut être réalisée de façon médicamenteuse ou chirurgicale. Plus le cas est tardif, plus l’arrêt aura de chances d’être réalisé via une opération chirurgicale. Les règles de l’IVG différent selon les pays (plus ou moins tardif). Chaque année, plus de 45 millions d’IVG ont lieu dans le monde.
Le problème c’est que je suis mineure, y aurait-il des recours ?
Si la personne souhaitant réaliser un IVG est mineure, elle seule peut décider de pratique un IVG. La contrainte est sérieusement punie par la loi. Le paramètre important est que la personne mineure se juge être en situation de détresse (départ du père, problème financier, etc…). L’autorisation d’un parent n’est pas obligatoire, mais il est recommandé que la personne mineure soit accompagnée par une personne majeure (frère, sœur, amis, etc…).
En faisant recours à ces différentes alternatives, est-ce qu’un jour je pourrais espérer avoir un enfant ?
Techniquement, un IVG peut potentiellement toujours avoir une incidence sur la fertilité de la mère. L’IVG n’est pas une opération indolore et représente un traumatisme pour le corps car le processus naturel est brusquement stoppé. Selon diverses études, 1 femme sur 10 souffrira d‘une complication après un avortement (col de l’utérus abimé, inflammation, grossesse extra-utérine, etc…). Notons aussi que 50 % des cas de stérilité est lié à un IVG au cours de sa vie.
N’y aurait-il pas des risques de Maladie Sexuellement transmissible ?
Les MST peuvent se transmettre via des rapports sexuels, des prises de sang, des prises de drogue (par seringue) ou encore la salive. L’IVG en lui-même ne comporte pas de risque de transmission sauf par inadvertance. En vous rendant dans un lieu dédié et contrôlé, les risques sont très limités.
Pour mon avenir, quel mode de contraception serait le mieux adapté sans nuire à ma santé ?
Il existe un grand nombre de méthodes pour votre contraception. A ce jour, plus de 12 techniques éprouvées vous permettront de profiter de votre vie sexuelle sans prendre de risque concernant l’arrivée non désirée d’un enfant. Le choix de ce mode de contraception dépend de vos préférences en la matière et de votre profil de santé. Clairement, contactez votre médecin pour en savoir plus.
Nous avons toujours eu recours à l’avortement avant de nous marier, est-ce que cela aura une influence sur des futures grossesses désirées?
Clairement, un IVG est un traumatisme pour le corps. Il y a des conséquences physiques (corps génital abimé) et psychologiques indéniables, c’est pourquoi il ne s’agit pas d’une solution de facilité. Les cas de stérilité liés à un ICG sont rares, mais ils existent. Que l’IVG soit médicamenteux ou chirurgical, les risques pour une future grossesse désirée existent (prématuré, handicap, etc…).
Nous souhaitons ne plus avoir d’enfant, à quelle méthode de contraception devrons-nous avoir recours?
Il existe de nombreuses méthodes de contraceptions définitives parmi les 12 procédés les plus utilisés. Plus de 30 000 femmes optent pour une contraception définitive chaque année en France et plus de 200 000 en Europe. Il peut d’agit d’une ligature des trompes chez la femme ou d’une vasectomie chez l’homme.
Quid de la contraception définitive chez les hommes ?
Chez les hommes, il existe également une alternative équivalente que l’on appelle la vasectomie. Ce genre de contraception requiert la prestation de spécialistes comme les gynécologues ou parfois des chirurgiens.